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La vie en communauté

foule de personnes diverses se tenant ensemble autour d’une bannière vide http://www.google.com

Il est souvent pensé que chacun est responsable de sa vie. Chaque décision prise concerne non seulement notre être, mais aussi notre entourage. Entourage qui regorge d’une diversité de personnes, avec des habitudes et pensées différentes. Par cet article, je voudrai évoquer l’impact que chaque habitant a ou peut avoir sur sa communauté. Il est relatif à mon quartier, Bonheur-ville, arrondissement 06 de la ville de Ouagadougou. Il s’articulera autour des points suivants : les ordures provenant des ménages, l’apparition des mauvaises herbes, et des nids de poule sur les voies.

La gestion des ordures ménagères

Illustration avec les pollutions sur terre, http://www.google.fr

Dans la plupart des communes de la ville de Ouagadougou, on constate qu’il y a peu de bacs à ordure pour contenir les immondices ramassées auprès des ménages. Cette situation est de plus en plus aggravée avec une démographie croissante.

En saison hivernale, dans mon quartier à mon Bonheur-ville, les immondices sont jetées sans soins et à l’abri des regards. Les ménages qui ont décidés de ne pas installer de poubelles devant leur porte ou à l’intérieur de leur cour, déversent leurs immondices dans les parcelles inhabitées ou dans les herbes. Ces immondices sont principalement des vieux vêtements, de la nourriture, des meubles cassés. Les plus gros objets constituent des risques d’accident pour les autres habitants.

Par la technique du bouche à oreille, j’ai cherché à savoir quelles sont les raisons empêchant certains ménages à ne pas avoir de poubelles? J’en ai obtenu deux qui sont discutables. La première raison avancée était la cherté de la poubelle. Sur le marché, ladite poubelle coûterait trente mille FCFA avec les frais de transport et d’installation y compris. Il est également possible d’avoir d’autres modèles à coûts réduits et pour une longue durée. La deuxième raison était le fait qu’ils ne sont pas prêts à débourser de l’argent pour faire ramasser leurs immondices et aussi que les frais sont élevés. Alors que l’Association des femmes chargées du ramassage des immondices dans le quartier passe au maximum deux (02) fois dans la semaine et prenne mille FCFA toutes les fins du mois. Il y a la pauvreté, c’est vrai, mais j’ai remarqué que ces ménages sont dans la capacité de s’en procurer. Ils ne sont pas disposés à avoir un cadre de vie sain. Tant que leur devanture est propre, le reste, on peut vivre avec. C’est bien triste !

La gestion des mauvaises herbes

Je ne dirai pas que c’est un fléau, mais en saison hivernale les mauvaises herbes constituent un véritable problème pour le voisinage. Elles poussent généralement dans les espaces vides ou laissés à l’abandon, telles les parcelles vides. L’herbe est parfois très haute, surtout avec de bonnes pluies. Elle constitue des repères pour reptiles, moustiques et agresseurs pendant la nuit. Triste est de constater que les habitants ne s’en préoccupent pas, à moins que leur devanture soit concernée. L’odeur de certaines herbes est source de nombreux rhumes et de maladies liées à la respiration. Ce qui est étonnant, c’est que les gens profitent pour jeter leurs immondices à l’abri des regards indiscrets. L’odeur de putréfaction est d’autant plus insupportable après une pluie.

Les nids de poule

Il est courant de voir la voie d’un quartier jalonnée de petits trous, qui rendent pénible la circulation. Ces petits trous sont multiples et varient de largeur et de profondeur à différents passages. Ce qui est hilarant de voir, c’est que devant les habitations où se trouvent les trous, les propriétaires placent des briques afin d’éviter que les motocyclettes, les engins à quatre roues n’empiètent sur leur propriété. Dans certains quartiers, les propriétaires construisent des ralentisseurs anarchiques pour éviter les éclaboussements d’eau et de boue devant leurs concessions. Par contre dans d’autres, les habitants remplissent les nids de poule par des ordures ménagères. Ce n’est pas croyable! On assiste à l’installation d’un dépotoir au milieu du quartier, avec des problèmes de santé publique, car les enfants y jouent en longueur de journée et, d’esthétique, ce n’est beau à voir.

Chacun est libre de faire ce qui lui semble bon, dans la mesure où cette liberté n’entrave pas celle des autres. En effet, chaque ménage produit des déchets, mais a dû mal à les gérer. La mauvaise herbe pousse sans l’intervention humaine, mais sa présence est nuisible à l’Homme. Aussi pouvoir circuler en toute quiétude est le rêve de tout le monde, alors que les nids de poule sont désagréables, pénibles et transformés en dépotoir. Tous les acteurs sont interpellés et chaque individu doit répondre de sa responsabilité. Des décisions fortes doivent être adoptées et appliquées.

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Ma compréhension dans la compréhension

Des fois, la compréhension n’est pas donnée à tout le monde. En effet, nous ne pouvons dire que nous comprenons que si nos oreilles ont été attentatives aux dires de la personne en face de nous. Souvent, on dira, oui! J’ai compris. Mais quoi? A quel moment ? Dans l’impression de qui? Puis-je apporter un autre entendement ? Cela dépasse t-elle ma propre compréhension ?

Quand je regarde autour de moi, les idées des personnes pullulent. Elles sont partout et perceptibles au simple pourtour du regard. Certaines s’impriment dans ma mémoire en un claquement de doigts. Les personnes bougent et communiquent entre-elles, souvent sans un mot prononcé.

Portrait of overjoyed black woman and man hold disposable coffee cups , http://www.google.fr

Elles se dévisagent et se font des idées, les unes sur les autres. Elles se décollent tel un cil au vent. Leurs impressions sont sans racines et leurs durées si éphémères. Je me rendis compte qu’elles avaient un lien avec les mots dits sans sens, sans profondeur, qui ne touchent pas l’esprit.

Les personnes ressentent juste de l’indifférence du moment qu’aucun regard ne les vise. Comprendre une personne sans l’avoir entendu, est devenu comme la meilleure chose à faire, ici et là. Certains esprits n’expriment qu’un vide au moment d’ouvrir la bouche.

Man in brown zip up jacket wearing black headphones, http://www.google.fr

Ce vide effleure un temps soit peu d’autres esprits qui prétendent et attendent une consistance d’idée. De là, ma compréhension des personnes se fige et refuse d’émettre un mouvement, car les personnes ne se comprennent même pas. Elles projettent en face d’elles, un écran de compréhension et agissent comme des êtres compris et compréhensifs.

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L’Attente

C’est l’histoire d’une jeune fille du nom de Suzy, qui a dû quitter son habitat naturel depuis ses huit ans, suite à une déportation de masse qui avait eu lieu dans sa région. Elle espérait revivre ses jours heureux avec les personnes qu’elle avait connues.

Elle était assise au bord de la fenêtre de sa chambre, le regard tourné vers une chose presque imperceptible. Elle clignait rarement des yeux de peur de laisser passer ce qu’elle fixait. La main sous le menton, elle laissait échapper juste des salutations vides d’émotion et des mots entrecoupés pour faire savoir qu’elle avait parlé.

Paysage rural, pétales de Sakura, fenêtre en bois, http://www.google.fr

A la fin de la journée, avant de refermer la fenêtre, elle soupirait à se vider les poumons. Elle répétait le même cycle chaque jour et tous les jours. Eprise d’une curiosité qui m’étonnait, « Que cherches-tu au fond du jardin? » je lui demandai. Elle ne dit aucun mot près d’une dizaine de minutes. J’ai eu le sentiment qu’elle réfléchissait pour me répondre.

Après l’écoulement de ce temps, elle dit ceci: « Je ne cherche rien. J’attend quelque chose ou quelqu’un, je ne sais plus. » Elle ignorait ce qu’elle attendait, mais elle savait qu’elle devait attendre. Mais quoi? Je la regardai et je compris qu’elle attendait sa vie future, dans un passé empli de regrets.

Vue arrière de la femme triste à côté de la fenêtre http://www.google.fr

Elle attendait une reconnaissance de gens qui occupaient une place indélibile dans son coeur; elle attendait un effacement de ses blessures qui n’étaient pas marquées d’une once de pardon; elle attendait des moments de fou-rire avec un entourage inexistant; elle attendait tout ce que les vagues avaient emportées.

C’était un vide dans un futur hypothéqué dans un passé mal vécu. Il s’agissait d’une attente douloureuse à mon sens, mais réconfortante dans l’esprit de la belle Suzy.

Femme copie, chagrin occasionnel, solitaire http://www.goole.fr

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Pourquoi tout prête à interprétation ?

freepik.com

Tel un craquement de bois morts, mon esprit se brise à la vue d’une personne qui ne me ressemble pas ;

Une ressemblance que je cherche pour apaiser mes craintes ;

Des craintes qui sont pourtant miennes et qui ne sont pas teintées de la marque de l’autre ;

Oh l’autre ! Cette personne si différente de moi que tout acte donne à interprétation ;

Oh l’autre ! Cette personne si différente de moi que tout acte éveille la confusion ;

Oh l’autre ! Cette personne si différente de moi dont chaque regard, mouvement entraîne méfiance et suspicion ;

Oh l’autre ! Cette personne si différente de moi à travers laquelle j’ai voulu voir mon reflet ;

Pourquoi ne pouvait-elle pas être comme moi ?

Ma réflexion s’échauffait et mon coeur se marquait d’une fissure à cette question posée.

Mon interprétation face à l’inconnu me paraissait normal, mais a voilé une grande partie de la vérité ;

L’autre n’est pas moi et ne sera jamais moi ;

L’autre porte en lui ses peurs et ses angoisses, qui sont différentes des miennes ;

L’autre est unique et je le suis aussi ;

Je constate que l’autre est un appui sur le chemin que j’emprunte,

Car ce qui m’attire chez lui est lié à sa différence et non à ma quête de ressemblances ;

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Une amitié perdue

Vivre, c’est devenu impossible pour moi.

Exister, c’est mon seul choix.

Perdre un ami, c’est comme perdre la vie.

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Une amitié chère à mes yeux, je l’ai perdue.

Savoir que tu ne seras plus dans ma vie, me calcine.

Penser que je ne t’entendrai plus, me tourmente.

Imaginer que je ne te verrai plus, me laisse vide.

A ton amitié, j’y tenais.

Te dire que je souffre, je ne peux pas.

Te dire que j’ai peur, je n’y pense même pas.

T’exprimer ma douleur, je n’ose pas.

Te dire que je tiens à toi, est difficile pour moi.

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Pour mon pays

Le drapeau de mon pays, le Burkina Faso. Crédit photo : pixabay



Pour mon pays, je verse sur le papier les mots de mon cœur.

À travers sa ressource humaine


Par les récits de mes grands-parents,

Je me rappelle de l’histoire des hommes et des femmes,

Qui ont bâti mon cher pays, le Burkina Faso.

Comme Martin Luther KING, ils ont eu un rêve,

D’élever la terre de leurs ancêtres au sommet du baobab.

De montrer aux yeux du monde,

Que le pays des hommes et des femmes intègres,

Regorge de personnes fortes, combatives et résilientes,

Face à l’adversité.

Des enfants qui rient. Une photo prise dans une école du Burkina Faso. Crédit photo : pixabay



Par sa culture


Que chaque concession renferme,

Une pépite d’or,

Qui est un jeune garçon avec la force de Rialé,

Et une jeune fille avec la grandeur de Yennega.

Comme Thomas SANKARA,

Les dignes fils et filles des treize régions du pays,

Aspirent au changement,

Et toutes les contributions sont les bienvenues.

Une résilience admirative de mon pays


Du paysan du Sud-ouest à l’étudiant du Nord,

De la vendeuse de bouillie au fonctionnaire cravaté,

De l’agriculteur à l’éleveur,

Du plus nantis aux plus démunis,

Chacun apporte sa pierre à la bâtisse à sa manière.

Une bâtisse qui reflètera à la fin du labeur,

Le courage et l’abnégation des bâtisseurs,

La détermination et la persévérance d’une jeunesse consciencieuse.

Comme les deux faces d’une médaille,

Notre génération sait que le pays a besoin d’elle.

Par un stylo, elle crée.

Par la voix, les dirigeants tendent l’oreille à leurs dires.

Lors de la fabrication de marmite en terre cuite dans une des régions de mon pays. Crédit photo : pixabay



Consciente et soucieuse du patrimoine laissé,

Par les fondateurs du Gulma, du Moogho, du Gwiriko, du Liptako,

Les jeunes ont des repères,

Et des sources intarissables pour inventer à l’infini le changement,

Auquel ils aspirent.

Le travail

Une jeune femme qui travaille sur son ordinateur portable. Crédit photo : freepik

Je n’oublie pas la main,
Qui m’a nourrie au détriment du cri de son ventre,


Qui s’est levée aux aurores,
Pour me mettre au même niveau que les autres enfants.


Je ne pourrai jamais remercier,
Ceux qui m’ont appris leur savoir-faire faire, leur savoir-être,


Afin de me préparer à la dure réalité de la vie;
Celles qui m’ont inculquées,
À toujours faire de mon mieux et de ne cesser de croire à un meilleur avenir.


Je ne pourrai jamais rembourser le travail abattu par les hommes et les femmes qui font bouger notre monde.


Le sacrifice est lourd à payer et mérite une reconnaissance éternelle.

Bonne fête du Travail à toutes et à tous !

Je t’aime



Je t’aime pour toi,
Je t’aime pour nous.
Sincère avec mes mots d’enfants,
Je te veux tout près.

Contempler ton être entier,
Pour en mémoriser chaque partie,
Qui éveillera mes sens,
À ton absence.

Je t’aime fort,
Je t’aime à inonder la mer.
Candide dans ma démarche,
Je t’observe avec mes yeux de chat.

Que l’amour m’emporte au firmament,
Si c’est le tien.
Que la vie s’émerveille,
Si ta présence lui est indispensable.
Je t’aime sans concession.

J’écris


J’écris pour plaire,
À la nuit tombée,
À la lumière d’une bougie,
Je verse sur le papier,
Les mots de mon cœur.

J’écris pour guérir,
Des maux enfouis dans ma gorge,
Qui me blessent et blessent l’autre,
Quand je décide de l’ouvrir.

J’écris pour oublier,
Les histoires passées,
Qui ne cessent de vouloir s’intégrer,
Dans mon présent bâillonné,
Des incertitudes d’un futur idéalisé.

Refaire un nouveau ciel



Pinceau à la main,


Je dessine mon avenir,


Avec du rouge,


Pour rappeler l’amour,


Que je mets sans retenue pour capter,


La nouvelle génération d’amoureux.

Mon chiffon à la main,


J’efface l’amertume des opprimés,


Qui laissèrent du gris et du noir,


Couvrir leurs espérances.


Je voudrais refaire un nouveau ciel,


Teinté de bonheur et d’espoir.

Tombée



Je suis tombée par amour,
Là où les herbes poussaient avec une voix mélodieuse.

Là où l’on se livrait corps et âme,
Pour trouver des proses à ravir le cœur tant désiré.

Je suis tombée par honneur,
Sur le champ de bataille pour conquérir ton doux amour,
Qui me fait vivre,
Sans bouteilles d’oxygène sur le lit d’effroi.

Larmes



L’air assèche mes larmes,
La terre absorbe mes joies et mes peines,


La chaleur me les évapore pour graver au ciel mes combats et mes victoires.

Mes larmes ne coulent plus,
Aux dictats des bruits extérieurs.


Elles se plient en quatre feuilles,
Et s’enfoncent dans les quatre points cardinaux.

Ma source de vie

Je garde au fond de mon petit cœur,
Le souvenir de l’être extraordinaire,
Que tu a été.


Dans la douleur,
Tu sus me réconforter,
Dans le bonheur,
Tu sus partager ma joie.


Que ma vie serait vide sans toi,
Que mon existence s’obscurcirait à ton absence.


Ma source de vie,
Je m’abreuverai pour toujours.

La femme forte

Qu’elle est admirable la femme forte.


Petite, elle n’imagine pas être la femme d’une personne,


La mère d’un petit être,


Pour lequel elle s’inquiétera toute sa vie,


La belle-fille parfaite pour une famille,


Qui ne la considéra,


Peut-être ou pas à sa juste valeur.


Qu’elle est exceptionnelle la femme forte.


Elle est la couronne de son futur mari,


En mettant en sourdine le nom de son père,


Car elle valorise son nom de famille à lui.


Elle s’oublie pour le bonheur de son bien-aimé.


Elle supporte l’insupportable,


Pour éviter le regard de la société.


Face à la moquerie, elle dépérit.


Face aux insultes, ses larmes sont silencieuses.


Face à la honte, elle se cache des yeux du monde.


Que c’est dur d’être une femme forte en ce moment !


Ses épaules ne sont pas toujours larges.


Qu’elle est extraordinaire la femme forte.


Elle supporte la douleur de l’enfantement,


Afin de mettre au monde,


Une héritière, un héritier.


Pour garantir la pérennité de l’humanité,


En risquant sa vie sur la table d’accouchement,


Sur le chemin de l’hôpital,


Sur une charrette à bœuf ou d’âne en campagne.


Malheureusement sous certains cieux,


La beauté de la naissance est dénaturée.


Pour une femme forte,


Avoir un enfant,


C’est l’aimer et le chérir,


Le voir grandir et lui permettre,


De laisser son empreinte dans le monde,


Et d’être une lumière pour les autres.


Oui, je voudrais que mes entrailles,


Donnent des pépites,


Qu’elles ne servent pas à garantir la progéniture,


D’un homme qui serait capable,


De m’abandonner sur la route de sa vie,


De me les arracher pour me blesser,


De les utiliser comme un outil de pression.


Qu’elle est sensationnelle la femme forte.


Malgré le poids de la vie,


Ses échecs cachés à ses proches,


Ses angoisses projetées sur un lendemain meilleur,


Elle sourit en montrant ses dents de sagesse,


Espérant que personne ne verrait ses souffrances,


Ses cicatrices empreintes de ses sacrifices,


Son épuisement physique et mental,


Et de la peine que son âme ressent,


Dès le chant du coq.

Bonne Saint Valentin

Que l’amour inonde vos cœurs. Il se prouve tous les jours et pas uniquement le jour de la Saint Valentin !

Oh… Amour !
Qu’il est bon de le ressentir !
Qu’il me plait de l’éprouver juste pour toi.
Oh… Mon bel amour !
Je ne me laisserai jamais de le nourrir à ton égard !

Que la vie est belle !
Elle est magnifique !
Tout luit et apporte son grain de bonheur.
Que ma vie est belle !
Car tu m’honores par ta présence.

Aussi longtemps que le mois de février existera,
Aussi longtemps qu’il contiendra le 14,
Sache que la source de mon amour ne tarira jamais.

Envolons nous vers le firmament. Étendons notre amour au quatre coins du monde.
Et montrons aux sans cœurs que l’amour existe et triomphe.

Comme le disait Victor HUGO, << La liberté d’aimer est le même droit que la liberté de penser ; l’un répond au coeur, l’autre à l’esprit ; ce sont les deux faces de la liberté de conscience >>.

Joyeuse Saint Valentin !

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