Ma première œuvre littéraire

Devenir auteure n’a jamais été un rêve. Enfant, je rêvais de voyager et de découvrir le monde. Je voulais m’imprégner des choses que mes yeux apercevaient à travers mon petit poste de télévision. Je voulais vivre des sensations extraordinaires que personne dans mon entourage avait vécu. L’envie de partir au loin animait l’esprit de la petite fille que j’étais, comme si je fuyais quelque chose. Pourtant, j’aimais la vie que je menais auprès de ma famille. En effet, la famille est très importante pour moi et les voir chaque jour me comblait. Seulement, je ne détenais pas les clés du destin et la vie en a décidé autrement. Aujourd’hui, je fais paraître ma première œuvre littéraire Larmes silencieuses, qui est un recueil de poèmes.

Depuis le Lycée, la poésie me fascina, me subjugua, me charma et me conquit. J’écrivais déjà mes textes. Peut-être pour plaire ou me libérer, je ne saurai trouver le juste milieu. Les personnes auxquelles je les faisais lire, les trouvaient juste beaux. Mes textes n’évoquaient pas une émotion unique en elles. Alors que mon objectif majeur, était de partager ce que mon cœur ressentait.

Au fil des ans, j’appris sur le tas, en lisant des œuvres poétiques, en cherchant à comprendre la méthode et la technique pour écrire une poésie époustouflante à la hauteur d’auteurs.es de renoms. Dans ma quête, la finalité n’était pas de finir auteure, mais de coucher sur le papier, l’histoire d’une jeune fille, qui avait du mal à transformer la vérité pour plaire à des esprits mortifiés par la réalité. En effet, le fait de nommer le chat d’un autre nom ne change pas sa nature. Il reste toujours un chat.


La poésie, c’est quoi ? France culture


A un moment donné, je me rendis compte que mon cahier se remplissait de textes. En toute franchise, la qualité m’importait plus que la quantité. Cependant, je devais m’assurer que mes textes n’étaient plus juste beaux, mais que chaque vers dégageait des émotions indescriptibles.

Les réseaux sociaux furent, donc, la vitrine sur laquelle j’affichai mes écrits. De nos jours, en effet, internet est un village planétaire et je savais que je pouvais tomber sur des professionnels ou des amateurs, qui pourraient me donner des orientations afin d’améliorer mon travail. Je décidai également de participer à des concours poétiques pour tester ma plume. J’eus des retours positifs m’incitant à faire mieux.

Après six années d’écriture, je soumis mon recueil de poèmes, ma première œuvre littéraire à une maison d’édition. Celle-ci me fit savoir par la suite, que mon œuvre était éditable et paraîtrait d’ici la fin de l’année. Grande fut ma joie ! Comme un bébé qui fait ses premiers pas, je fais mes premiers pas dans l’arène de la littérature burkinabè et dans la littérature du monde.

Prisonnière d’un temps

J’ignorais que je naitrais. Je suis le fruit, du hasard ou pas, entre deux personnes qui se sont rencontrées, se sont aimées et ont décidé de rester ensemble. Mon enfance fut bercée par les histoires du terroir local, les habitudes, les joies et les peines des individus qui m’entourent. Tout n’était pas lucide, mais riche en émotions. En effet, je me sentais bien près d’eux et je cherchais à comprendre la facilité avec laquelle, une personne se laissait transporter par ses sentiments. Était-ce son cœur ou son cerveau qui lui dictait la démarche à suivre ? Je ne saurais vous répondre, car j’étais prisonnière d’un temps. J’étais tout simplement fascinée.

Quand j’eus l’âge d’aller à la maternelle, je n’eus pas cette résistance comme les autres enfants qui pleuraient après le départ de leurs parents. Je me sentais bien lorsqu’il était l’heure d’y aller.

J’ai aimé cette période de ma vie, car l’insouciance était mon bel habit et le goût du risque était une évidence. En effet, la différence entre les filles et les garçons n’avait pas l’air d’exister, sauf quand il fallait se rendre aux toilettes. Je remarquai que certains étaient debout. D’autres étaient assises. Hormis ce fait, le mélange était parfait. La religion était exclue des débats enfantins que nous menions. Les bonnes dames encourageaient l’inclusion et l’entraide entre petits camarades.

En ce moment de ma vie, personne ne faisait la différence ethnique existant entre les enfants dans la cour. Nous étions tous des enfants et le plus important était de passer ensemble, le temps imparti par nos enseignantes. Les questions liées à l’origine n’étaient pas notre tasse de thé.

J’ai également vécu cette même expérience à l’école primaire. Seulement, il arrivait que ma maîtresse de l’époque demandât à un élève sa région d’origine, quand il commettait une erreur jugée infaisable pour son niveau. « C’est ainsi que l’on fait ou écrit chez toi ? », disait-elle sans rien ajouter. Évidement, les autres gloussaient et on passait à autre chose. C’est-à-partir de ce moment, que j’ai commencé à m’intéresser à ma région et à retenir le nom. En effet, ceux et celles qui ne connaissaient pas les leur, se faisaient charrier.

C’était la belle époque ! Hélas, le Collège, le Lycée et l’Université furent les lieux où les séparations étaient les plus palpables. Les hormones sont en ébullition. Garçons et filles se courtisaient, formaient des couples, se faisaient des cadeaux, roucoulaient, se disputaient et se séparaient quand les congés ou les vacances se pointaient à l’horizon.

Après l’obtention de mon Certificat d’étude primaire élémentaire, l’Etat m’affecta dans un Collège de confession religieuse différente de la mienne. C’était un monde nouveau que je découvrais. Les pratiques étaient différentes des miennes. Certains enseignants.es issus.es de cette confession religieuse nous interdisaient les pratiques qui nous étaient propres. Ici, il fallait couper la poire en deux. Une partie acceptait la situation et continuait son chemin. Une partie refusait catégoriquement et se faisait malheureusement exclure des cours par les enseignats.es. Je me demandais quelques années plus tard à quel moment le principe de la laïcité s’appliquait.

Pour mettre un terme aux tensions, il eut un arrangement entre les deux parties et les cours reprirent. Je puis dire que les conflits générationnels ne me touchaient pas vraiment, parce que la jeune fille que j’étais, ne voulait pas être une prisonnière d’un temps. En effet, j’eus le sentiment, que la peur de perdre son autorité face à des gamins de dix ou onze ans pourrait troubler et amener une personne à prendre des décisions drastiques. L’enseignant est là pour inculquer le savoir et pas imposer ses dictats sur des enfants qui pourraient avoir le même âge que les siens. Tout peut se faire par le dialogue et par l’intéressement à l’autre.

Le temps passait. Mais je constatais que les rapports se détendaient de plus en plus entre les êtres humains qui peuplaient mon entourage. Les filles se suivaient et les garçons faisaient pareils. Voir les deux sexes se suivre, signifiaient forcément qu’ils faisaient des choses d’adultes. Donc des enfants dépravés auxquels des bonnes mœurs devaient être inculquées, afin de les ramener sur le droit chemin. Qui sur cette terre pouvait prétendre connaître le droit chemin ? Aucun manuel n’est délivré au nouveau-né. Il devrait juste se fier aux dires de ses prédécesseurs et tracer son chemin.

Chacun prévoyait déjà sa vie avec l’homme ou la femme de sa vie, lorsque j’arrivais au Lycée. Cependant, la planification fit en suivant des critères spécifiques, que les parents instituaient aux préalables ou sur un modèle d’affranchissement de l’autorité parentale et des carcans sociétaux. En effet, appartenir à la même confession religieuse, provenir de la même région, vouloir un métier commun étaient des critères non négociables pour les jeunes à mon époque. Conduisant malheureusement à changer et à détruire leur unicité.

L’amour est libre. Il naît dans le cœur et disparaît aux vents sans une programmation préméditée. Il réchauffe des âmes refroidies par les actes inhumains perpétrés par d’autres humains. L’amour éclaire les lanternes éteintes des personnes qui ont été confrontées aux difficultés de la vie. En effet, il parfume les corps longtemps vidés de leurs senteurs originels.

Seulement, nous étions jeunes. Nos émotions éphémères prirent en otage les valeurs primordiales qui devaient nous permettre de cheminer sereinement vers la vie d’adulte. L’époque était belle et charmante, car nous continuions à grandir. Les goûts se raffinaient davantage, les comportements se maturaient, les pensées et les discours s’affinaient. A mon niveau, j’avais hâte d’avoir le baccalauréat et de m’en aller. Cette hâte de partir n’était pas lié au lycée ou à mes camarades, mais à l’environnement dans lequel je vivais. Le lycée était le lieu où je me sentais bien. La bibliothèque était à ma portée, les gens me divertissaient par leurs mimiques et les causeries entre camarades m’enrichissaient énormément. Mais j’aspirais plus humainement et spirituellement.

Comme une femme portant une grossesse pendant neuf mois, j’enfaitai de mon diplôme et je pris mon envol vers ma nouvelle vie d’étudiante. J’ai aimé ma vie estudiantine et énormément appris, car les jeunes filles vivaient aisément, parlaient assurément et agissaient librement. Aucune n’était prisonnière d’un temps. Les jeunes garçons étaient aimables, serviables, avenants, courtois quand il le fallait, disponibles et gentils suivant les occasions.

Je me sentais bien. Les différences étaient inexistantes. Nous vivions insouciant comme je l’étais dans mon enfance. Malheureusement, cette sensation de liberté fut courte. J’oubliai, en effet, que ce sont les enfants que nous étions hier, qui devinrent les adultes d’aujourd’hui. Le risque de retomber sur des pensées semblables étaient inévitables. J’avais peur d’y face et d’être une prisonnière d’un temps. Effectivement, les discussions tournèrent encore autour des critères établis comme à l’époque du Collège et du Lycée. Ma sidération fut grande. Plus le temps s’écoulait, plus les rapports étaient douloureux. Les sujets banals prenaient de l’ampleur dans soirées bien ou peu arrosées.

Malheureusement les petites discussions entre camarades de classes ou de filières différentes s’interrompaient, parce que chacun se cramponnaient à son idée et quittaient la table quand une opposition planait dans l’air. Hélas, je devins prisonnière de mon temps. J’aurai aimé voir mon temps se développer différemment. Je me demandai comment je pourrai faire pour supporter les années suivantes.

Mon amitié

Mon amitié envers toi,


Est une main qui te soutient dans la douleur et le désarrois.


Elle est une oreille qui écoute,


Tantôt ta peine, tantôt ta joie.


Il s’agit d’un regard,


Qui voit jusqu’au plus profond de ton âme,


Sans jamais se faire juge.


Elle est un coeur qui s’ouvre,


Et jamais ne se ferme.


C’est un refuge.

Mes beaux vêtements

Avant de sortir de mon cocon, je porte ma robe d’ « intégrité ».

Face à mon miroir, le choix des bijoux m’est difficile. Je décide de me parer avec le « respect ». Il me va si bien.

De même, j’imagine le chemin à parcourir et mes chaussures « la patience » sont parfaites pour l’occasion.

Tournant légèrement la tête, je vis « honnêteté », mon petit mignon sac, qui contenait en vrai mes biens précieux.

Mon doux parfum la « bienveillance », un indispensable à ma peau et à ma tenue.

Quoi de plus beaux et utiles que mes lunettes « transparence », aux magnifiques cadres pour bien voir la beauté de la vie.

De peur de ne pas me faire entendre, je me dirigeai vers le frigidaire, l’ouvrit, prit ma succulente boisson la « communication » et la but.

Le poids de la valeur

Deux anges qui se regardent. Crédit : pixabay

Avant de te rencontrer,
Les jeunes filles et les jeunes garçons aux coeurs brisés,
Disaient à qui voulait l’entendre,
Que l’on ne connaissait la valeur d’une personne,
Qu’après l’avoir perdue.

Flattant l’ego des chameurs,
Des beaux garçons,
Des belles filles,
Et des amoureux d’une saison.

Seulement mon cœur t’emprisonna,
Dès que mes yeux se posèrent sur toi.
Le bonheur était inouï,
À chaque instant passé à tes côtés.

Je sus à cet instant,
Que la valeur d’une personne n’était pas évaluée à sa perte,
Mais au fait que la présence de celle-ci,
Me donnait envie de m’améliorer,
Chaque jour,
Et de vouloir la garder pour toujours.

Brisé


Une plante éclairée par le soleil levant. Crédit : freepik

Brisé par ton absence,


J’ai eu du mal à ramasser les fragments,


De l’être que j’étais hier.


Les yeux dirigés vers le néant,


Le lendemain ne laisse rien entrevoir.


Brisé par tes mots,


Ma bouche peinait à s’ouvrir,


Car ma langue perdit de sa souplesse.


L’esprit balbutiait pour aligner deux à trois mots.


Tes paroles assassines, tuèrent toutes réflexions en moi.


Brisé par ton manque de de discernement,


Tu conduis notre relation à l’abattoir.


N’étant pas dans le secret des dieux,


Le boucher hacha mon coeur avec ton accord.


Tes mots sans sens,


Résonnaient dans la coquille vide,


Que j’étais devenue.


Tes gestes vides d’empathie effaçaient le peu d’humanité en moi.

Corps malade

Une femme qui tient sa tête entre ses mains. Crédit : freepik

L’œil avait mal.

Il ne dit aucun mot au cerveau.

Tout confiant,

Il se confia au pied.

N’ayant pas de liens,

Le pied ne prêta qu’une oreille.

L’autre oreille bouda violemment,

Car sa sœur ne lui souffla aucune phrase.

Dans sa colère, elle demanda aux mains,

Intéressées par son histoire.

Les mains prirent son récit,

La balançèrent au visage,

Qui rougit et le laissa glisser sur le ventre.

Accablé par la faim,

Le bidou ne se rendit pas compte des maux,

Qui accablaient ses frères et ses sœurs.

Pourtant, le nez avait senti le mal-être de l’œil,

Car ils étaient proches.

Le corps avait mal,

Malheureusement,

Le cœur ignorait la source.

Le corps malade avait si confiance en ses frères et sœurs.

Il pensait à l’union oubliant,

Que les autres nourrissaient la désunion.

Ne me juge pas

La femme qui représente la justice. Crédit : freepik

Cette phrase qui fait l’objet de mon écrit, est utilisé par tous, avant ou après que la personne décide de nous raconter son histoire. Je n’ai pas jamais compris pourquoi une telle restriction envers son interlocuteur, quand de prime abord, le concerné ou la concernée sait qu’il a tort.

Raconter son mal-être ou son problème à une personne connue et lui dire « Ne me juge pas » limite le champ de conseils qu’autrui pourrait apporter. En effet, il faut être assez courageux pour accepter les remontrances d’un parent proche, les remarques assassines d’une personne qui nous a vu grandir et qui nous connaît. Seulement, certaines personnes préfèrent raconter ou dire à un inconnu, qui ignorent qui elles sont. Certes il va écouter et donner des conseils sans juger, mais il ne rentrera pas en profondeur et se limitera à ce que vos oreilles veulent entendre.

La phrase « Ne me juge pas » est adressée, je le constate également, aux personnes estimées par le ou la concerné.e. Le fautif ou la fautive se juge avant même que ses lèvres ne se délient, car son esprit imagine déjà les dires de l’être considéré.

Une double souffrance inutile !

À mon humble avis, les personnes estimées deviennent des « juges », lorsque l’image reflétée en leur présence, est carrément différente des faits commis en leur absence. C’est tout à fait normal que ces personnes réagissent mal et ont le droit d’être offusquées, car il y a manifestement une erreur sur la personne.

En somme, personne ne peut juger une autre, car tout le monde commet des erreurs regrettables ou a des secrets cachés et, essaie au quotidien de s’améliorer.

La voix de Dieu

Un réveil indiquant le temps.

La voix de Dieu tonne au loin.

La nature répond à son appel ardent.

Par des éclairs et de la pluie,

Le ciel acquiesce avec force.

Les animaux en débandade,

Se dirigent vers le lieu secret,

En laissant derrière eux leurs nids douillets.

Le ventre de la terre gargouille,

Car les nappes phréatiques ne veulent plus se retenir.

Tout se fend et cède la place à la voix de Dieu.

Sauf moi.

Mon âme ne réagit pas à cet appel.

Moi qui suis pourtant créée en son image.

La voix de Dieu m’est inaudible.

Mon esprit ne tressaille pas,

Mon cœur ne le ressent pas,

Car je lui interdis l’accès à mon âme.

Face aux calamités du monde, à ma souffrance humaine,

Aux cris de la veuve et de l’orphelin,

Les voies de Dieu devinrent impénétrables.

Les hommes taisent leur conscience et vident le grenier public.

Dieu voit, mais sa voix est imperceptible.

Son silence règne en maître,

Pendant que les armes font la fête au Sahel.

Le vent souffle à déraison,

Comme pour marquer l’omniprésence du Très haut.

Tous réagissent et courent vers ce mystérieux endroit,

Me laissant dans ma colère insondable.

J’espérai malgré tout l’entendre dans mon insurrection,

Mais la voix de Dieu m’était inintelligible.

La fille d’Uranus

C’est fou quand même!
Des choses que l’on vit ou subit au quotidien sans parler. Des écarts de comportements infligés par des personnes brisées de l’intérieur, qui le savent ou font semblant d’ignorer leurs problèmes.
C’est aberrant de voir qu’une personne te maltraite, te rabaisse, te calomnie, te ridiculise en prenant du plaisir, et comme par miracle face aux yeux de tous, te responsabilise de ses maux.


C’est fou quand même !

Première illustration

C’est scandaleux, je pense, lorsqu’une personne fait tout pour t’avoir dans sa vie et décide de rompre par un simple message ou par un appel téléphonique en ne formulant qu’une seule phrase et raccroche pour toujours. Le monde s’effondre et je me demande si c’est en ce moment précis que la phrase c’est la vie sied. Pour les collégiens ou lycéens, on peut accepter, car la maturité n’est pas encore au point. Seulement la pilule passe mal pour une personne ayant la vingtaine ou la trentaine.
Est-ce que c’est de l’idiotie ou de la fantaisie ?

Deuxième illustration

C’est surprenant quand une personne se fait passer pour ton ami.e, un pilier, un confident ou confidente, te suit dans tous tes délires et projets importants de ta vie ; sans crier garde, se barre la porte ouverte.
La personne a juste rempli sa besace de ce que tu pouvais lui donner et est partie.
Alors qu’il aurait été tellement simple de demander et si c’était possible, on donne. Fin de l’histoire ! Mais non, la personne oublie que la conscience se réveillera un jour, vous chercherez à vous excuser et il sera tard.

C’est triste !

Troisième illustration

Même pour avoir quelques instants de plaisir, de l’argent ou un service, une personne est capable de devenir le plus grand acteur ou la plus grande actrice. Les belles paroles sortent et les actes démonstratifs sont incalculables, juste pour combler un plaisir égoïste et disparaître. Des fois, il suffit de demander et si cette personne refuse, allez-y ailleurs. Il n’y a pas d’intérêt à abuser d’une personne honnête et sincère.
Le monde est fait de sorte que chacun trouve son compte, mais non on fout la vie des autres en l’air par méconnaissance ou par plaisir.

C’est aberrant !

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